Lettre d’Isabelle 164 – La terre vue du ciel
Je vous partage un article trouvé sur un réseau qui donne les réflexions d’un astronaute qui a passé 178 jours dans l’espace
« Ron Garan, un ancien astronaute de la NASA, a passé 178 jours dans l'espace et a accumulé plus de 114 millions de kilomètres à parcourir en 2 842 orbites autour de la Terre. Cependant, son voyage n'a pas été seulement des chiffres impressionnants. Au cours d'un de ces voyages, il a vécu quelque chose que peu d'humains ont jamais vécu : le soi-disant effet Overview, un phénomène qui transforme la façon dont nous voyons notre planète.
L'effet Vue d'ensemble - ou « effet Vue d'ensemble » - est un choc de réalité commun chez les astronautes. En observant la Terre depuis l'espace, ils réalisent, viscéralement, que la planète est un système unique, fragile et interconnecté. Pour Garan, l'expérience était si remarquable qu'il la décrit comme un « grand réveil ». Dans une interview avec le site Big Think, il a révélé : « Certaines choses deviennent indéniablement claires quand vous êtes là-haut. "
De sa fenêtre sur la Station spatiale internationale, Garan a été témoin de phénomènes naturels époustouflants : orages de foudre qui ressemblaient à des flashs de paparazzi, aurores boréales dansant comme des rideaux brillants et l'atmosphère terrestre si fine qu'on pouvait « presque toucher avec ses mains. Mais c'était la finesse de cette couche qui l'avait sur ses orteils. « J'ai réalisé que tout ce qui soutient la vie sur Terre dépend d'une couche fragile, presque comme du papier », a-t-il expliqué.
L'atmosphère, avec ses quelques kilomètres d'épaisseur, est ce qui protège toutes les formes de vie des conditions hostiles de l'espace. Pour Garan, ce point de vue a mis en évidence un paradoxe : alors que la biosphère est dynamique et pleine de vie, les systèmes humains considèrent la planète comme une « subvention à l'économie mondiale. ” En d'autres termes, nous donnons la priorité à la croissance économique au détriment des systèmes naturels qui nous soutiennent. « Nous vivons dans le mensonge », a-t-il déclaré.
L'astronaute a également souligné comment des problèmes comme le réchauffement climatique, la déforestation et la perte de biodiversité sont traités comme des problèmes isolés alors qu'en fait, ils sont les symptômes d'un problème plus important : la déconnexion humaine avec la planète. "De l'espace, il devient clair que nous ne nous voyons pas comme faisant partie d'un tout. « Tant que nous ne changeons pas cette mentalité, nous continuerons à être en crise », a-t-il déclaré.
La solution, selon Garan, est un changement radical des priorités. Au lieu de penser à "économie, société, planète", on devrait inverser l'ordre : "planète, société, économie". Cet échange simple reflète la nécessité de placer la santé environnementale comme base de toutes les autres décisions. « C'est la seule façon pour nous d'évoluer vraiment », a-t-il affirmé.
Un autre point crucial est l'indépendance. Garan a comparé l'effet d'ensemble à « une lampe éclaircissante » - une révélation sur la façon dont chaque action humaine, aussi petite soit-elle, affecte l'équilibre mondial. « Nous n'aurons pas la paix sur Terre tant que nous ne reconnaîtrons pas que tout est interconnecté », a-t-il
Depuis son retour sur Terre, Garan s'est consacré à des projets qui favorisent la durabilité et la coopération mondiale. Son message est clair : nous devons de toute urgence repenser notre place dans le monde. Vous êtes-vous déjà arrêté pour imaginer ce que ce serait de voir la Terre sous cette perspective ? Bien que cela n'arrive pas, la vision de Garan nous rappelle que chaque choix - de la consommation d'énergie à l'utilisation des ressources - est un pas vers la préservation (ou la destruction) de cette délicate « coquille » que nous appelons chez nous. "

J’avais été très intéressée par un documentaire vu il y a dix ans qui expliquait comment un jeûne précédant une chimiothérapie pouvait aider afin que seules les cellules malades soient ciblées par la chimio sans que les cellules saines soient touchées. 10 ans après, voici les suites de ces études sur le jeûne : c’est tout simplement passionnant.
ARTE REPLAY
J’avais été très intéressée par un documentaire vu il y a dix ans qui expliquait comment un jeûne précédant une chimiothérapie pouvait aider afin que seules les cellules malades soient ciblées par la chimio sans que les cellules saines soient touchées. 10 ans après, voici les suites de ces études sur le jeûne : c’est tout simplement passionnant.
« Le jeûne, enquête sur un phénomène »
Extra, un documentaire encore disponible quelques jours (jusqu’au 25 mars 2025)
de Sylvie Gilman et Thierry De Lestrade (France, 2023, 1h)
Jeûne intermittent, autophagie, "switch métabolique" : dix ans après leur premier documentaire à succès sur le jeûne, Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade se replongent dans les recherches prometteuses sur une pratique en plein essor (…). Ces dernières années, la recherche – de la rhumatologie à l’oncologie – s’est massivement emparée du sujet, tandis que le jeûne intermittent, devenu un phénomène de société, dévoile des bienfaits désormais avérés. Si nos voisins allemands peuvent aujourd’hui profiter de cures de jeûne remboursées dans le traitement de certaines maladies chroniques, comme la polyarthrite, l’asthme, la fibromyalgie ou le diabète de type 2, cette pratique prometteuse et peu coûteuse suscite encore la méfiance du corps médical français…
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SUNNIVA GYLVER
Une drôle de dame
Nouvelle évêque de Norvège : on aime !
Pas conformiste elle secoue les codes de l’église : dreadlocks, piercing et messe de yoga
@lestrepublicain 💒Pieds nus et avec ses dreadlocks, Sunniva Gylver, 58 ans, détonne dans son église protestante d’Oslo. Pourtant c’est elle la pasteure de la paroisse et elle vient même d’être élue évêque de la capitale de Norvège. Portrait.
♬ son original - L'Est Républicain
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A ce sujet n’oubliez pas de réserver Les Nouveaux Mondes présente en avant-première
« Femmes prêtres, vocation interdite »
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https://nouveaux-mondes.fr/film-femmes-pretres-vocations-interdites-de-marie-mandy/
MUSIQUE
Vuelvo al sur
Gotan Project
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Je ne connaissais pas et j’adore
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