Livre « Fin d’automne » d’Andrée Condamin
Ce roman décrit avec tendresse, les turbulences que déclenche le diagnostic de la maladie d'Alzheimer.
Fin d’automne raconte la vie d’Antoine et de Gabrielle qui envisageaient avec confiance de vieillir ensemble, tout en profitant de la beauté de la nature. Ce qui est essentiel pour eux, se dégage peu à peu. Antoine et Gabrielle doivent, en même temps, composer avec le diagnostic de la maladie d'Alzheimer.
Ce livre s’adresse à tous ceux et à toutes celles qui s’interrogent sur le cheminement vers la mort, mais aussi sur la douceur du temps et des éléments qui nous entourent. Comment accompagner ses proches dans la fin de vie? Comment vivre la mort, avec douceur?
Extrait de Fin d’automne (p.50)
Cinq heures du matin. Le soleil se lève, cette nouvelle aurore vaut la peine d’être vue. Quand Gabrielle dort avec lui, elle proteste lorsqu’il sort du lit tiède. Lui, il aime voir les premières lueurs sur le fleuve, les premiers rayons et enfin le soleil lui-même. Il a l’impression que son corps se dilate en même temps que la lumière.
Depuis qu’il a compris que la maladie tisse sa toile dans son cerveau, que sa vie touche à sa fin, il veut s’immerger dans la Vie elle-même, sentir qu’il en fait partie.
L’histoire se déroule au Québec, Canada, mais les personnages connaissent bien la France auxquels ils sont attachés.
Avec ce roman, Andrée Condamin souhaite invoquer les regards que nous pouvons avoir sur la vie et sur la mort, avec toute la tendresse et l’amour qui vient avec. Il s’agit d’un temps où ce qui est essentiel se dégage peu à peu. Ce roman est une invitation à reconnaître ce que nous vivons avec nous-mêmes et avec les autres.
Commander Fin d’automne : Fin d'automne de Andrée Condamin | Blurb France
Andrée Condamin a enseigné la littérature et a travaillé comme psychothérapeute. Désormais à la retraite, Andrée consacre une bonne partie de son temps à l’écriture. Son origine française et sa vie au Québec colorent ses différents écrits, dont Fin d’automne.
Grâce à son site web, www.andreecondamin.com, où elle publie des textes, elle développe des liens avec ses lectrices et ses lecteurs faisant sienne la phrase d’Albert Jacquard : je suis les liens que je tisse avec les autres.
Courriel : andree.condamin@gmail.com