Nous parlons de plus en plus des EMI les expériences de mort imminente

Le tunnel du passage, les esprits des proches ou des alliés qui nous accompagnent et nous guident, l’absence de notion d’espace et de temps, la pensée nous propulsant dans le décor choisi, l’amour incommensurable qui nous traverse et tisse toute les scènes vécues, la vivacité des couleurs et l’aspect d’une réalité plus vibrante que sur terre, la force réelle que l’on reconnait être la vraie vie depuis laquelle tout se déploie.

Et aussi sa version difficile : la souffrance aigue de ne pas avoir reconnu, de ne pas avoir vécu selon les lois inhérentes à la Vie, la souffrance de ne pas avoir compris. Alors notre propre conscience voit ce qu’elle a commis et vit l’enfer mais personne ne nous y a emmené sinon nous-même par manque d’amour.

L’expérience d’une EMI confirme à celui qui la traverse que la conscience vit bien en dehors du corps, libre d’elle-même et liée à notre nature profonde d’amour et de lumière.  Tous témoignent au retour qu’ils ne vivent plus du tout de la même façon dans le monde de l’incarnation.

Si l’expérience est majeure parce que propulsant son passager de manière brutale dans la conscience d’une réalité plus haute, j’aimerais témoigner que l’expérience peut être vécue de jour, sans brusquerie, sans mort passagère et sans tunnel. On pourrait l’appeler :

L’EVI comme EVI DENCE ou EVI DANSE comme on veut

Elle vient de la qualité du très-profond en nous, du silence et de la méditation, de la claire lumière de nos cœurs, de la contemplation, de la clairaudience ou de la clairvoyance pour certains (quand ils sont bien guidés là-haut), des prolongations de la grâce ou des extases vécus et laisse un parfum de réalisation et de conscience peut-être plus doux et continu qui va d'avant la naissance à après la mort et s’intensifie au fur et à mesure que grandit son intimité en nous. Levée comme un soleil l’EVI ne se couche plus. Elle danse.

Elle peut aussi connaitre les enfers quand elle fait des sauts quantiques et se juge durement au regard des actions passées qu’elle réprouve.

De ce jour on sait absolument sans le moindre doute que la réalité se créée dans cet alignement véritable du divin en nous. Et que notre présence au monde demande l’attention sensible de nos intentions, de nos regards et de nos actes.

On réalise doucement mais surement que tout ce qui se présente autour, dans nos vies comme dans le monde, n’est qu’une projection, un reflet de la conscience dont la trame est matière par le jeu solide de l’interdépendance. Mais ce n’est qu’une apparence.

Alors on sait aussi que ce qui est raconté dans une EMI est un passage, une dimension de la réalité et que ce n’est pas la seule. Elle est une fréquence, une bande passante et qu’il y en a bien d’autres…à l’infini. Il faut en connaitre les éléments mais ne pas s’attarder. Juste reconnaitre et traverser.

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« Un jour viendra, dit Merlin, où tu comprendras que tout l'univers vit en toi. Alors tu seras magicien. En tant que magicien, tu ne vis pas dans le monde, le monde vit en toi. Quand cela arrivera, tu commenceras à manifester au lieu d'attirer »

Sur une EMI

(Expérience vécue par Vincent Hamain)

Bagdad Café

I‘m calling you

Bon week-end les ami.es

Isabelle

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