Cette lettre pour vous confier mon bonheur d’écrire mon premier livre : 

- Voyage d’une conscience au Cœur de l’Infini –

qui raconte par l’expérience directe le cheminement d’une conscience hors du temps en visite dans plusieurs sphères d’existence.

Le titre n’est peut-être pas celui définitif, il peut encore changer.
Je vous en offre ici un court extrait écrit récemment.

Le deuxième extrait après la porte du cœur déjà paru.

J’espère qu’il vous donnera envie d’en savoir plus.

Je remercie tous les lecteurs qui me suivent depuis longtemps et dont je sens la présence bienveillante. C’est pour vous que j’écris, et pour moi, pour me réunir.

Je vous joins en bas de page un bulletin d’inscription si jamais vous vous vouliez le commander. Je prendrai ainsi vos coordonnées et vous préviendrai de sa parution.

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Extrait

L’esprit du vent, je le rencontrai avec Hanuman sur les hauteurs de Hampi sur la colline d’Anjanadri Hill dans le sud de l’Inde. Après avoir escaladé les centaines de marches en compagnie des singes jusqu’à son petit temple blanchi à la chaux, je restais recueillie près du grand frangipanier et respirais l’air, humant l’horizon.

J’étais très inspirée par l’histoire d’Hanuman, fils de Pavana le dieu du vent. Son faciès est celui d’un singe et il porte en lui la force du lion. J’admirais sa vaillance et sa puissance, sa foi, sa dévotion. Redoutable guerrier, il aida Rama à se libérer du roi des démons raconte l’épopée du Ramayana écrite en sanskrit au 3^ème siècle avant Jésus-Christ. Il franchit l’océan d’un bond jusqu’au Sri Lanka pour délivrer la princesse emprisonnée Sita, la femme de Rama. D’un bond encore il ramena l’Himalaya entier au bout de son doigt pour apporter une herbe guérisseuse qui poussait sur la célèbre montagne, au frère du roi blessé d’une flèche empoisonnée.

Il est très vénéré en Inde. Pour toutes ces qualités, sa sagesse et sa noblesse de cœur.

Un proverbe indou dit : les singes pleurent sur les autres, jamais sur eux-mêmes.

Sur ma colline au grand air, j’étais pénétrée par le respect que j’avais pour Hanuman et tous ces êtres singuliers et grandioses. J’ai la simplicité d’une enfant. Toutes les belles histoires deviennent vraies quand elles me plaisent, quand les bons gagnent sur les mauvais avec foi et panache. Quand la loi du cœur et du collectif gagne sur celle du pouvoir et de l’intérêt personnel. La première fois que je découvris Bénarès dans le nord de l’Inde aujourd’hui appelée Varanasi, au bord du Gange, j’eus la vision qu’un immense combat avait lieu dans le ciel dans le monde des dieux et demi-dieux, un combat cosmique, et que l’aventure humaine sur terre n’en était qu’un pâle reflet. Ce qui m’avait interloqué était la puissance des combats célestes, dont l’envergure était mille fois plus musclée que ceux sur terre. En fait je ne crois pas à notre histoire d’évolution du singe à l’homme. Je crois qu’il y a eu en des temps reculés des dieux qui vivaient sur terre plus de six cents ans avec des pouvoirs et des forces inconnues de nous les humains d’aujourd’hui. Est-ce ma fantaisie ou mes souvenirs ? Je ne sais pas. Plusieurs grandes humanités ont existé. Il se peut par contre qu’elles se soient déroulées sur d’autres plans, invisibles à nos yeux mais dont la mémoire est enregistrée quelque part dans la grande bibliothèque du monde, sur une bande de fréquence inaudible à bon nombre.

L’esprit du vent se présenta comme celui de l’eau…

Bachar Mar-Khalifé

Kyrie Eleison

Un de mes airs préféréss à l'opéra

Les pêcheurs de perles de BIZET- La romance de Nadir-

Une musique d’ambiance, relaxante
que je mets souvent en fond pour rester dans la tranquillité chez moi, toute simple

Albert Cohen

Alleluja