Lettre 59 – Appel et bilan 3 Nouveaux Mondes
Les lettres 20 et 44 résumaient la situation de l’association et faisaient appel à vous. Merci pour toutes vos réponses, vos suggestions dans le questionnaire envoyé, vos petits mots suite aux parutions des lettres du samedi, vos soutiens, vos dons, vos adhésions.
Merci aux annonceurs également, qui font vivre l’association et lui permettent d’avoir des rentrées d’argent en l’absence des programmes et des voyages prévus.
Où en sommes-nous ?
Nous sommes maintenant 14 pour réfléchir à l’évolution de l’association. Le site va être refait avec la présentation de chacun. De nouvelles lignes se dessinent. De nouveaux horizons. Aimeriez-vous participer à dessiner les contours de quelques-uns d’entre eux ?
Nous avons déjà deux grandes urgences :
Il nous manque 1, 2 ou 3 stagiaires:
- Le profil d’un community manager, un spécialiste de la communication et de la mise en réseau en quelque sorte, pour donner de l’ampleur à l’association, la faire connaître, alimenter les réseaux, la mettre en lien.
- Un.e développeu r.e web, pro du marketing ? Peut-être animateur.e, intervieweur.e elle-même ? pour installer, suivre et développer les webinaires des rencontres, conférences et formations en ligne.
- Un.e vidéaste amateur.e éclairée qui aimerait se joindre à notre équipe pour le plaisir.
Si vous avez ce profil ou si autour de vous, vous connaissez quelqu’un.e.s qui l’aient avec l’esprit des Nouveaux Mondes, bienvenue ! Ecrivez-nous à redactionlesnouveauxmondes@gmail.com
En titrant : Proposition STAGIAIRES Nouveaux Mondes
Ces postes de stage pouvant tout-à-fait devenir des postes rémunérés en fonction du développement et de l’évolution qu’ils feront prendre à l’association.
Parce que c’est samedi, j’ajouterai quelques petites phrases sans rapport mais qui peuvent inspirer votre week-end
Il faut avoir du chaos en soi pour pouvoir accoucher d'une étoile qui danse
Nietzsche
Pour hier pas de fleurs
Pour demain pas de peur
d’un certain Dean Rise?
(Entendu à Emmaüs Pointe Rouge à Marseille quand j’achetais un vieux tapis persan pour mon beau-fils qui fait de sa cave une antre à jazz. Ce marchand de tapis (très très marchand de tapis- qui a très fort tenu tête à mes marchandages) m’a sorti cette dernière phrase. Je n’ai jamais trouvé référence du Dean Rise en question sur le net mais la phrase m’a plu. Si vous en connaissez la référence, bienvenue!)